Disposant à l’époque des dernières avancées technologiques disponibles sur le marché en matière de téléviseurs, mes photographies de L’Abîme de la représentation m’amenèrent à photographier les images de films comportant des sous-titres, et surtout les sur-titrages du système Antiope, destinés aux sourds et malentendants, convaincu que par-là j'approchais au plus près une nouvelle manière (matière) destinée autant à l'œil qu'à l'oreille, ce qui, pour la photographie, n'est pas si mal.
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